Moi je ne tricote pas! Je fais juste des pompons avec mes enfants mais ça passe pour ce projet, ouf!
Alors voilà, dans ma ville PERSAN dans le Val d'Oise (95), la ville en collaboration avec la médiathèque crée un projet YARNBOMBING:
Si ça vous dit d'y partciper, vous pouvez m'envoyer vos carrés de tricot, pompons ou fleurs!
Plus on est de fous plus on rit!
Le yarn bombing ou tricot-graffiti ou encore tricot urbain (appelé aussi « knit graffiti » en anglais) est une forme d'art urbain ou de graffiti qui utilise le tricot ou les fils colorés1.
Le yarn bombing investit la rue en utilisant et en recouvrant le mobilier urbain de tricot : bancs, escaliers, ponts, mais aussi des éléments de paysage naturel comme les troncs d'arbre, ainsi que les sculptures dans les places ou les jardins.
L'un des objectifs est d'habiller les lieux publics en les rendant moins impersonnels, en les humanisant et en suscitant la réaction des passants.
Le yarn bombing reste une pratique illégale lorsqu'il ne s'agit pas d'une commande des pouvoirs publics.
Le mouvement est né en 2005 lorsque Magda Sayeg a eu l'idée de recouvrir la poignée de la porte de sa boutique de laine à Houston, aux États-Unis.
La pratique s'est ensuite largement diffusée, notamment en Europe de l'Est et en Angleterre. C'est en effet à Londres qu'a eu lieu la première aventure de tricot collectif, appelée « Knit the City » (« Tricote la ville »)2.
En France, la ville d'Angers a proposé à ses habitants de contribuer, en tricotant, à une action de yarn bombing dans la ville dans le cadre du festival d'art urbain Artaq en mai 20123. À cette occasion, Magda Sayeg a recouvert de tricot le pont Confluences4.
C'est génial non?!!!!
Nous sommes des scrappeuses mais pas que...nous sommes des créatives et des manuelles avant tout alors si ça vous dit d'exposer vos tricots dans ma ville ,n'hesitez pas, j'en serai ravie!!!
A bientôt!